•  19 mars

     

    Comme prévu nous quittons, après le café, ce petit coin de paradis. Il fait beau quelques nuages trainent dans un ciel d’azur.

    Nous retraversons ce désert noir, plat et un peu monotone en laissant derrière nous cet erg aux multiples couleurs. 

     

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    Puis la palmeraie.

     

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    La traversée de Rissani est plutôt chaotique, des piétons, des voitures, des camions, des charrettes transportant femmes et enfants, partout, un peu dans tous les sens.

      

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    Les petites ateliers sont ouvert, les artisans sont au boulot, ici le menuisier.

     

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    Arrêt en ville pour quelques achats au souk, souk très aminé, comme d’habitude, les femmes toujours en noir, souvent un seul oeil visible....

      

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    Les boucheries ne sont pas toujours très appétissantes...

     

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    Tout se transporte...même à bicyclette.

     

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    Ici on trouve de tout.... sauf ce dont nous avons besoin... surtout pas au bon prix, pas question de négocier.

     

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    Sortie de Rissani

     

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    Quelques kilomètres plus loin nous sommes au camping Tifina où nous retrouvons des colistiers. Geneviève nous fait de grands signes. Nous allons la saluer c’est ainsi que nous faisons connaissance et discutons… de quoi…. Devinez…. De Maroc bien entendu.

    Nous nous installons dehors pour le repas.

    Nous voyons alors Mireille et Michel qui rentrent d’une balade à vélo et nous échangeons alors nos expériences. Comme nous ils sont ravis des rencontres faites dans cette région de l’est du Maroc qui est très attachante.

    Un tour en ville en taxi avec nos amis Héraultais (Barbel et Jack ont eu de mauvaises nouvelles de France et sont sous le choc). La recherche d’un régulateur de tension s’avère infructueuse.

    Ce n'est pas l'heure, tout est fermé...

     

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    Encore un transport à vélo...

     

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    Au retour des gazelles commencent à arriver, nous discutons, les prenons en photos, des moments d’échanges agréables. (voir une petite parenthèse)

    Il est 18h, une surprise attend Geneviève et oui, elle vient de fêter son anniversaire. L’équipe du Tifina nous offre un beau et bon gâteau ainsi qu’une bonne bouteille de côteau de layon. Miam que c’est bon, glou glou…c’est bon aussi.

     

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    Hélas nous les quittons à la hâte mais nous devons aller à l’hôtel Xaluca à six kilomètres au nord d’Erfoud,  pour voir France. C’est en taxi que l’atteignons après voir traversé tout Erfoud, ce n’est pas une mince affaire. Des voitures plein phare, des voitures qui dépassent n’importe comment, des piétons, des vélos, des mobylettes, des carrioles tout cela sans éclairage…

    Beaucoup de remue ménage devant l’entrée de l’hôtel, beaucoup de voitures des gazelles. Comment allons-nous retrouver notre amie France parmi tout cela. Plus facile que nous l’avons pensé elle nous fait de grands signes, c’est elle qui nous a reconnu. Nous sommes très heureux de la retrouver, grandes embrassades et effusions de joie. Nous prendrons quelques photos mais dommage il fait nuit. Que du bonheur.

      

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    VIVE L'EQUIPAGE 169

     

    Nous la laissons à ces occupations, elle n’a pas encore mangé, il faut préparer le 4X4 et le briefing est à 21 heures et puis il y a aussi sans doute le stress du rallye.

    Retour en taxi au camping, il nous a un peu pris pour des américains…. Bref nous sommes rentrés à bon port.

    Encore une belle journée riche en rencontres.

     

     

    20 mars

     

     Ce matin il fait toujours grand beau et déjà chaud.

     Nous disons au revoir à Mireille, Michel, Geneviève et Robert. Ils vont voir les gazelles et ensuite faire une virée dans le désert. Toujours ravis de revoir les amis ou encore d’en rencontrer d’autres. Ce fût un peu court mais très agréable. Peut être aurons nous le plaisir de nous revoir encore dans ce pays que nous aimons tant.

     

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     Suivant les conseils de Mireille et Michel nous irons voir le vieux ksar Ouled Zohra. Un charmant jeune homme, suivi d’une multitude d’enfants, nous conduira jusqu’à ces ruines dominées par une vieille tour qui ont souvent servi comme décors de cinéma. Encore un petit coin magique.

     

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    Les alentours 

     

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    Après une petite gratification nous amènerons donc Amladi jusqu’à Erfoud où il travaille comme mécano.

     L'oued Ziz que nous traversons.

     

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    Après un petit arrêt à Erfoud, juste pour l’achat de pain nous prenons la route de Jorf. C’est jour de souk, un vrai souk, où il est fort difficile de se frayer un passage, un souk noir de monde et de camelots en tout genre, des voitures, des camions ou des triporteurs dans tous les sens. En plus ces dames sont  vêtues de noir de la tête aux pieds, comme à Rissani. Une vraie fourmilière fort active…

     

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    Les paysages se suivent mais ne se ressemblent pas, tantôt des paysages plats arides, des collines érodées noires où le sable blond semble monter à l’assaut, tantôt de splendides palmeraies bien cultivées et verdoyantes.

     

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    Une mini tornade qui tourbillonne.. bien que nous ressentions pas de vent

     

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    Arrêt de midi vers les Khétaras, cet ancien système d’irrigation, introduites au Maroc au 11ième. Nous verrons donc ces alignements de petits puits entourés de buttes formées par le creusement ou l’entretien des canalisations souterraines. La neige dans le lointain sur l'Atlas.

      

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    Quelques explications données par Mohamed, plus ou moins exactes. Mais son but est de nous entrainer sous la tente pour nous vendre des babioles, sous prétexte de boire le thé. Nous nous prenons au jeu et passons un moment à discuter. C’était bien joué mais nous ne pouvons pas acheter aussi souvent.

     

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    Cependant nous nous arrêtons cinq cents mètres plus loin chez Bachir (Bivouac les Touareg), car moyennant 5dh on peut vraiment visiter les canalisations, une association « les amis du désert » ont aménagé le lieu, éclairé d’ailleurs par un groupe électrogène. On peut donc pénétrer dans cette canalisation souterraine et l’on voit même les virages crées pour freiner l’eau. Ces canalisations, savamment calculées amenaient l’eau sur 45km, sans évaporation, depuis la nappe phréatiques jusqu’aux terres fertiles. Les Khetaras font partie de passé par manque d’entretien et à cause de la sécheresse.

     

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    La descente dans la conduite

     

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    Les deux Jack ????

     

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    Nous croiserons le Rallye Classic du Maroc, certains chauffeurs ont le pied lourd.

     

             Cliquez sur la voiture pour découvrir le rallye           D'hassi Labied à

     

    Arrivée sur Goulmina, des paysages superbes, des palmeraies dominées par une petite chaine tabulaire aux couleurs chatoyantes.

      

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    L'oued Gheris à l'approche de Goulmina

     

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    C'est l'heure de la lessive

     

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    Installation au camping des Tamaris, chez Michèle. Michèle est là, sourire aux lèvres, nous bavarderons quelques instants.

     

     

    21 mars

      

     

    Journée cool au camping sous le soleil.

     

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    Maintenant entrez....

     

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    Fati à des mains de fée, j’ai beaucoup apprécié son massage qui à duré une heure, un vrai moment de détente. Bravo Michèle très bonne initiative. 

    Nos voisins et amis ont fait un tour en ville. 

    Le déjeuné commandé au camping sera excellent, un très bon tajine de veau aux pruneaux (Un par personne)

      

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    Après le repas c’est le repos bien mérité, relax au soleil….les doigts de pieds en éventail…. 

    Balade en ville, à la recherche du régulateur de tension…. Les 2000w sont pratiquement introuvable. Pas de chance.

     

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    Petite Cachotière.... Bises ma puce.

     

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    Demain nous reprenons la route pour l’atlas.

     

     22 mars

     

    Encore une belle journée en perspective, ciel bleu et soleil.

    Après quelques achats en ville, direction le nord, nous traversons la ville qui s’anime et la palmeraie. 

     

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    Accroupies, faucille à la main les femmes sont aux champs entrain de couper la luzerne, tandis que d’autres rentrent chez elle avec un fardeau de bois sur le dos pour aller faire bouillir la marmite, c’est jour de couscous.

     

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    Ensuite c’est le désert, quelques palmiers solitaires tentent de survivre tandis que les djebels alentours sont enveloppés dans une brume légère qui adoucit les contours.

      

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    Voici Tadirhoust, sa vieille casbah et son cimetière. 

     

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    Notre route se tortille dans ce relief tourmenté, coloré de rose, de beige ou d’ocre où les rochers semblent défier les lois de l’équilibre.

      

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    Dans ce relief austère, désertique, de petits villages se blottissent dans de minuscules oasis de verdure.

     

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    Nous suivons, controuvons ou traversons l’oued Ghéris qui est le plus souvent à sec, cependant un ruban de verdure suit son lit, contraste frappant avec cette roche rouge battue par le soleil.

     

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    Entre Djebel Morrhand et Djebel Trimetrout les gorges se resserrent, pour ne laisser que la route et un lit caillouteux ou coule parfois un peu d’eau. Ce sont des paysages magnifiques qui s’offrent à nous, des villages qui s’agrippent entre lit et falaises au dessus de beaux champs verdoyants.

      

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    Villages perchés aux maisons carrées faites en pisé qui se confond à la terre, champs cultivés d’un beau vert, des roches souvent rouges prêtes à basculer telle est notre carte postale de cette matinée. 

     

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    Ici c'est jour de lessive dans l'oued.

     

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    Notre salle à manger dans les gorges

     

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    Nous poursuivons inlassablement notre route dans ce décor de rêve et nous voici à Assoul où l’on peut voir de nombreuses aires de battage.

     

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    Beaucoup d’enfants, grands et petits qui se précipitent et réclament stylos, bonbon ou je ne sais trop quoi car parfois nous ne comprenons pas. Nous roulons donc très doucement car cela est dangereux, surtout que certains sont haut comme trois pommes…

    Notre route court ensuite sur un plateau un peu monotone vers 1500m d’altitude, malgré cela le soleil fait danser le mercure, où l’on cultive des arbres fruitiers, pommiers et pêchers, ces derniers ont mis leur parure rose bonbon. 

     

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    A Hait Bani, direction nord, par une belle route, au milieu de verdoyants jardins où coule l’assif Aït Hani surplombé par les grandes falaises du Djevel  Tanardha, qui va prendre rapidement de la hauteur dans des paysages colorés, dénudés mais époustouflants. Au col Tighighouzine à 2685m la vue est imprenable.

     

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    Voici le canyon de l’Akka  n’Ougoulzi.

     

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    Cette route nous descend tout en douceur jusqu’à Agoudal 2345 m où nous installerons à l’auberge camping Ibrahim. Nous sommes à l’intérieur de la cour entre de hauts murs. Ce soir avons dégusté une omelette berbère, elle était succulente. Agoudal petit village traditionnel en pisé. 

     

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    Thé à la menthe et cacahouettes offert

     

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     23 mars

     

    Ce matin nous avons beaucoup de mal de s’extirper de sous la couette, le mercure est un peu figé par l’altitude, il ne fait seulement que 4° à 7h30, et il y a encore du givre sur le lanterneau, un vent froid et chatouillant rafraichit considérablement l’atmosphère, mais le soleil est bien là et ses rayons bienvenus.

     

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    Balade en ville suivi d’une nuée de gamins qui réclament stylos, dirhams, argent ….voici donc Agoudal en image.

     

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    Les voilà encore devant les camping-cars lors de notre départ

     

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    A la sortie du village beaucoup de dames dans les champs, ces messieurs sont plutôt contre les murs, au soleil entrain de se faire bronzer…. Sans commentaire. 

     

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    D'hassi Labied à

     

    Nous voyons donc maintenant l’envers du décor puisque nous faisons la route en sens inverse. Nous suivons de près ou de loin, traverserons un petit oued qui roule une eau claire, sautille, clapote en scintillant et zigzague tout doucement en direction d’Agoudal. Très surprenant car son cours est très régulier.

     

    D'hassi Labied à

     

    La montée est douce et en quelques virages nous atteignons le canyon de l’Akka n Ougoulzi, canyon magnifique par cette luminosité matinale. Mais un vent glacial single nos visages, rougit nos nez et nous transperce, il est vrai qu’il ne fait que six petits degrés. Cependant la vue depuis la falaise au dessus du col donc à près de 2700m est de toute beauté. Quelques sommets sont légèrement enneigés.

     

    D'hassi Labied à

     

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    D'hassi Labied à

     

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    La descente sera plus rude pour nos engins à roulettes mais nos chauffeurs ménagent nos freins.

     

    D'hassi Labied à

     

    De nombreuses femmes rentrent avec des ânes chargés d’herbes sèches qu’elles viennent de ramasser dans la montagne, certaines portent leur lourd fardeau sur le dos.

     

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    D'hassi Labied à

     

    Village de Toumliline et ses champs verdoyant nichés au cœur de la montagne.

     

    D'hassi Labied à Tenerhir

     

    D'hassi Labied à Tenerhir

     

    Les couleurs sont éclatantes, la vallée nous parait encore plus belle que la veille.

    Nous retrouvons la R703, traverserons à nouveau Haït Bani avant de nous arrêter pour le repas de midi sur une petite plateforme qui nous tend les bras, plateforme au milieu de nulle part dans des paysages arides et rocailleux où nous aurons une tranquillité royale.

    Traverserons Tamtattoucht, confiné dans le haut de la vallée du Todra où de nombreuses maisons dispersées, de nombreuses auberges et campings fleurissent. Un environnement plein de contrastes, une mosaïque de couleurs font de ce petit village un lieu de quiétude. 

     

    D'hassi Labied à Tenerhir

     

    Quelques tours de roues et nous atteignons le début des gorges du Todra, gorges d’une exceptionnelle beauté qui nous surplombent et nous contemplent. 

     

    D'hassi Labied à Tenerhir

     

    D'hassi Labied à Tenerhir

     

    D'hassi Labied à Tenerhir

     

    D'hassi Labied à Tenerhir

     

    D'hassi Labied à Tenerhir

      

    Si le défilé, plus étroit est impressionnant il n’en reste pas moins vrai que les gorges ne se bornent pas à cela mais à toute la descente que nous venons de faire. Le flot incessant de voitures ou de bus amenant des touristes du monde entier rend ce défilé moins attrayant, s’ajoute à tout cela un nombre important de vendeurs qui hèlent plus ou moins les passants.

    Cette vallée bien qu’appartenant à la région désertique est un poumon de verdure avec son immense palmeraie à la sortie du défilé et un havre de fraicheur en été. De nombreux petits villages en pisé s’y nichent et la population sédentaire y vit de l’agriculture. Cette vallée s’étend donc sur plus de 30kms aux pieds des montagnes du grand Atlas. Cette terre rocailleuse, aride mêlée à la verdure dévoilent toute la splendeur des lieux. L’oued Todra a fendu ces masses calcaires et poursuit son cours en serpentant dans cette vallée verdoyante.

    L’arrivée sur Tinerhir nous dévoile sa célèbre palmeraie et sa myriade de casbahs et de ksours qui barre l’horizon. Cette immense oasis déploie ses petits jardins morcelés, ses vergers et ses petits champs cultivés. 

     

    D'hassi Labied à Tenerhir

     

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    D'hassi Labied à Tenerhir

     

    D'hassi Labied à Tenerhir

     

    D'hassi Labied à Tenerhir

     

    Un arrêt au restaurant « chez Michèle » que je remercie en passant, tout simplement pour une visite des lieux, La carte est aussi attrayante que le décor. Je vous laisse tout simplement regarder. 

     

    D'hassi Labied à Tenerhir

     

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    D'hassi Labied à Tenerhir

     

    Encore quelques courses en ville, une halte à la pâtisserie chez Michèle et nous nous installons pour une nuit au camping Ourti.

     

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