• 20 février

    Le ciel bleu et le soleil qui pointe son nez laissent prévoir un excellente journée. Et que dire de la température vers midi, à l'abri, au soleil sur la terrasse à 1080m d'altitude...

     

     

     

    Nous n'irons pas loin, juste à la station d'Hirmentaz tenter de grimper sur les crêtes et d'admirer encore une fois le paysages.

    Nous sommes samedi, il y a un peu plus de monde, de plus les clubs peuvent s'entrainer, donc pas mal d'enfants.

    Nous enfourchons nos raquettes et en piste pour une longue montée, là on se sent presque seuls. Quelques courageux à raquettes ou en ski de randonnée foulent cette neige qui crisse sous pas.

    Sortie raquette

    Un papa joue au tire fesse...il monte sa gamine au sommet, pour le plaisir de la glisse.

    La station s'éloigne.

    La montée se fait de plus en plus soutenue, nos pas deviennent plus lourds, plus courts, notre rythme cardiaque s'accélère et nos poumons s'essoufflent. Nous faisons de nombreuses poses pour reposer nos mollets.

    La neige port encore les stigmates de la pluie de sable qui est passée au dessus de la France.

    Nous louvoyons pour atténuer la pente et arrivons enfin sur les crêtes.

    Là la magie s'opère, la vue est époustouflante sur la chain de Mont Blanc depuis les Aravis et tout le Chablais avec le Ros d'Enfer mais aussi la mythique dent d'Oche, et côté nord les crêtes du Jura encore un peu enneigées et à leur pieds le lac Léman.

    Le Mont blanc apparait enfin.

    Quel panorama, nous restons là à contempler cette beauté naturelle que  nous présente dame nature.

    Les quatre têtes et la Point Percée.

    Pour le lac Léman, il faut le deviner...ol se confond avec le pieds du Juras.

    Parfois on peut "déjanter", la pose s'impose, même au milieu de la neige..

    Nous longeons un peu la crête et descendons pas la piste rouge, très pentue sur une centaine de mètres. Nous restons vigilants afin de ne pas chuter ou glisser, même si nos raquettes mordent la neige tassée et durcie par le passage des quelques skieurs.

    Une table semble posée là pou nous, nous apprécierons cette halte au soleil, mais il manque tout de même une boisson, voire une crêpe ou une gaufre.

    Une descente tout en douceur et nous retrouvons, je ne dirai pas la foule, mais tout de même pas mal de monde. Idem devant le restaurant Le Skieur qui fait boissons et emportés. Nous passerons notre chemin et rentrons chez nous.

    Après cette après midi raquette, une soirée raclette.

     

     


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