-
Haute Savoie
27 juillet :
e Mont Forchat, montagne du Chablais au cœur de la vallée verte, culminant à 1539m d’altitude.
C’est par un large chemin forestier, ombragé que nous débuterons notre balade, la montée est douce jusqu’à la grange de Mamet à1159m. La vue sur cette vallée verte, où règne calme et plénitude, est magnifique. Niché dans la verdure Habère Poche s’alanguit.
Vers le col du Cou.
Ensuite les choses se compliquent, le sentier devient plus étroit et la montée plus rude. Nos pas sont de plus en plus petits, notre souffle de plus en plus court, les muscles de nos mollets de plus en plus durs. Mais cette randonnée en sous bois apporte un peu de fraicheur, l’occasion de penser à la chaleur qui envahit la France et particulièrement le midi…Et oui l’esprit gamberge…les yeux s’embrument….
Malgré tout, après quelques efforts nous voilà au col de l’Encrenaz à 1513m, l’occasion de faire une pose avant s’attaquer le dernier ressaut fort raide. Des fleurs partout, des fleurs de toutes les couleurs et des gentianes droites comme des i qui érigent leur tête jaune vers un ciel d’azur.
Encore un dernier raidillon, une sente difficile où cailloux et racines s’allient contre nous et nous voilà au sommet à 1539m.
Là malgré la faible altitude un 360° s’offre à nous. Belle récompense que cette vue admirable, sur le Léman, le Chablais, le majestueux Roc d’enfer et enfin dans le lointain ce Mt Blanc fort enneigé. Une douce brume de chaleur envahit le paysage enveloppant les sommets dans un bleu blafard plus ou moins intense.
Planté au sommet de ce petit pic la Statue de St François de Sales veille et défie le ciel, un ciel sans le moindre nuage un ciel où brille l’astre divin.
Le Mont Forchat revit tous les étés lors du pèlerinage à la statue de Saint François de Sales, érigée en 1898 par les Lullinois en souvenir de l'abjuration de leurs aïeux au XVIème siècle.
Un petit peu d'histoire
En 1594, le jeune ecclésiastique qui arrive à Thonon est chargé d'une mission simple : convertir le Chablais protestant à la religion catholique. Cet homme s'appelant François est né à Sale en 1567. Après quatre ans, la mission de François est terminée. Il n'empêche que sa statue, édifiée au sommet du Forchat en 1898, veille toujours jalousement sur la foi des Chablaisiens.
Nous resterons là quelques instants à admirer ces paysages fascinants, à rêver les yeux ouverts devant cette beauté naturelle. Nous ne sommes pas les seuls, vététistes et randonneurs en famille sont là avec des enfants.
C’est à pas feutrés que nous fouleront un tapis d’aiguilles d’épicéas durant le chemin de descente, chemin agréable, en sous bois et en pente douce. De large échappées nous permettent encore de surplomber la magnifique vallée de Lullin dominée par le fantastique Roc d’Enfer, le pointe de Chalune. Majestueux et fier le Mont Blanc se dresse en arrière plan. Tout n’est que plaisir des yeux.
Mais que fait-il Là ?
Comme nous il admire le paysage !!!
Là au milieu de cette belle forêt de conifère la petite chapelle de bois et son bel autel de marbre trône, attendant le pèlerinage qui ne saurait tarder puisqu’il a lieu demain 28 juillet.
En quelques larges lacets nous seront dans des beaux alpages de Très le Mont, ou herbe et fleurs se mêlent intimement. Quelques belles tarines y pâturent.
Il est l’heure de casser la croûte, un moment simple mais agréable, une courte pause car il fait chaud et nous sommes ne plein soleil.
Encore une courte montée un peu raide et nous voilà à nouveau au col de l’Enrenaz.
Là nous prendrons la direction du col des Moisses que nous atteindrons après une longue descente en sous bois. Quelques centaines de mètres sur la route et nous voilà au point de départ. La boucle est bouclée, mais nous avons fait un véritable 8.
28 juillet :
irque deu fer à Cheval et le Bout du monde, par le Pas de Boret.
Le temps nous parait incertain et peu favorable à la randonnée, mais nous partons tout de même. Après une petite heure de route, nous retrouvons sur un parking à Samoëns, nos amis Nantais, Maryvonne et Serge, nos Sallanchardes Jacqueline et Michèle. Le ciel se dégage le soleil apparait et la météo nous annonce des orages pour cette fin d’après midi. Suivez nous pas à pas….
Stationnement sur le parking de cirque du fer à cheval. Départ de la joyeuse bande d'amis.
Nous évoluons d’abord sur un large chemin ombragé, deux petites passerelles l’une sur un petit torrent l’autre sur le Giffre nous permettent de d’atteindre un petit sentier qui part juste avant la buvette du Prazon, nous pouvons admirer au passage le fond du cirque où cascades et cascatelles bondissent gentiment de roche en roche.
Le sentier prend alors rapidement de l’altitude, sentier ombragé, seul un bruissement de feuille ou le murmure de l’eau vient troubler délicatement le silence. Dur dur.. la côte...
Ce sentier devient de plus en plus rocailleux, parfois glissant, court à flanc de falaise sous un soleil de plomb et nécessite une attention de tous les instants. Quelques câbles plantés çà et là aident notre progression qui se fait de plus en plus lente, alors que des escaliers inégaux, taillés dans la pierre la ralenti, écourte notre souffle et fatigue nos mollets.
La côte est rude et quelques arrêts à l’ombre sont les bienvenus. Ouf !! voici de l’ombre et un petit air frais que du bonheur….Quelques passages dégagés nous montre une nature belle, généreuse et étincelante sous ce chaud soleil.
Le chalet Boret est en vue, le sentier à découvert nous y conduit rapidement, un petit arrêt nous permettra de retrouver notre souffle, mais également d’étancher notre soif.
La vue est exceptionnelle des grandes falaises nous dominent fièrement tandis que la tour St Hubert, le Ruan et le grand Pic de Taneverge laissent épancher leurs larmes en une multitude de cascades plus ou moins puissantes qui murmurent, chantent ou rugissement méchamment.
Une descente rapide dans les alpages fleuris, voici une petite place ombragée avec une vue sublime qui nous tend les bras… salle à manger idéale, donc après l’effort le réconfort….
Une nouvelle petite passerelle sur un torrent nous permet de le traverser sans difficulté. Le sous bois et son agréable fraicheur nous attendant, encore quelques pas de montée avant d’attaquer définitivement la descente.
Séance émotion… je discute avec Maryvonne, quelques larmes envahissent mes yeux, une bise me réconforte… Et voilà on poursuit notre balade tranquillement.
Beaucoup de fleurs dans cet alpage.
Ce bout du monde nous enchante des nombreuses cascades et cascatelles dévalent ces falaises rapidement et forme ainsi le Giffre qui roule une eau glaciale.
Un passage de torrent....
Une légère descente dans la rocaille, sous ce soleil ardent nous fatigue. Mais très vite après un pont Népalais nous retrouvons un grand chemin ombragé qui court à plat dans la forêt avant d’atteindre nos véhicules.
Ce fût une balade enchanteresse, la beauté des lieux nous a rapidement fait oublier la rudesse de la montée et la présence d'amis nous a réconforté.
De quoi se rafraichir et de prendre une douche froide...
La corne du Chalois
29 juillet
Journée morose et pluvieuse. Réunion amicale ce soir autour d'un apéro dinatoire.
01 Août :
ent de Verreu
8h sonnante et trébuchante nous partons direction Samoëns, le soleil brille de mille feux, mais la température au col n’est que de 17°.
Après Samoëns au hameau de Peret, juste ne face la chapelle nous empruntons la route à gauche, passant à Balmes-dessus, direction le Mont, route étroite où nous serons bloqués un petit quart d’heure (livraison de mazout à la première maison rencontrée) et stationnement sur le parking prévu à l’entrée du petit village où trône une belle petite chapelle.
Montée tranquille sur un grand chenin empierré en sous bois qui décrit de grands lacets et nous conduit aux Achevines 1245m où nous croisons le sentier menant aux chalets du Criou.
Le sous bois est si intense que nous n’apercevons même pas le ciel bleu, seuls quelques rayons de soleil filtrent à travers l’intense chevelure des arbres. Quelques passages en petits alpages fleuris et le Mont Blancs se dévoile dans toute sa splendeur au fur et à mesure de la progression..
Quelques clochettes qui tintent et voilà les biquettes, arrivés aux Praz à 1297m.
Le cheminement en sous bois, agréable, nous laisse apercevoir, en contrebas, de temps à autre la belle vallée du Giffre.
Cà et là des papillons qui volètent, là un cheval qui pâture tandis que d’autres biquettes recherchent l’ombre bienfaitrice.
Après les chalets le chemin devient sentier, nous pénétrons ainsi dans la réserve de Sixt. Nous ne cherchons pas la performance nous évoluons à notre rythme, à pas tranquille sur ce sol feutré tel une moquette, nous permettant ainsi de regarder, d’admirer, de renifler de sentir cette nature qui nous invite à la méditation. La pente est encore relativement douce et la montée régulière et facile.
Le sentier serpente ensuite dans les alpages fleuris nous permettant ainsi une vue plongeante sur Samoëns, Morillon, Taninges et Sixt.
Les passages à l’ombre se font de plus en plus rare, la montée de plus en plus rude mais la vue est tout simplement époustouflante.
Samoëns 1600 et les Arvis en arrère plan
Des Aravis au Criou en passant par le Môle, le Poite Marcelly, le Haut fleuri, la Haute Pointe, Chavasse, Chalune et le Roc d'enfer.
Encore un dernier petit ressaut et nous voilà au sommet devant la table d’orientation à 1901m et là c’est encore un 360° qui s’offre à nous avec en toile de fond ce somptueux Mont Blanc qui semble tout proche.
Vers le Fer à Cheval
La vue est si belle que nous pourrions rester là des heures à contempler, mais après le repas, le soleil est si ardent que nous redescendrons rapidement.
Des Aravis au Mont Blanc en passant par la chaine des Fiz
Un petit arrêt à la buvette des Praz nous fera le plus grand bien. La descente en sous bois nous comble et nous arrivons rapidement à la voiture.
Encore une belle randonnée que nous avions écourtée en 2011 à cause du terrain beaucoup trop humide.
03 Août
inq lacs, les lacs de la Forclaz : balade dans le Beaufortain.
Deux heures et demie de route depuis Sallanches, c’est effectivement un peu long…..mais le jeu en vaut la chandelle…. La partie les Echines de dessus et le Fort de la Platte n’est pas très agréable, le goudron disparait laissant la place à une piste poussiéreuse et caillouteuse pour ne réapparaitre que dans les virages. La pente au fort pourcentage et des croisements plus que délicats ne facilite pas notre progression, mais raccourci le trajet qui serait dès le début fastidieux. Nos chauffeurs expérimentés déjouent les difficultés. OUF !!! Nous voilà arrivés, quel soulagement !!
Au passage nous avons aperçu le Fort du Truc qui semble immense, par rapport au Fort de la Platte, beaucoup plus modeste qui se borne à un blockhaus posé sur une imminence rocheuse. Construit entre 1881 et 1894 il avait un rôle de surveillance. Il est actuellement occupé par des agriculteurs qui y font du fromage.
Démarrage à 10h15, seulement d’environ 1950m, quelques grands lacets nous conduisent au fort.
La sente bien marquée domine le vallon du Chardonnet, la pente est parfois sévère et la chaleur omniprésente.
La beauté des lieux nous fait oublier la rudesse de la montée, les alpages sont émaillés de fleurs magnifiques sous les contreforts du Roc d’Enfer.
La pause fruits secs est la bienvenue, elle nous permet de retrouver notre souffle et de soulager nos mollets endurcis. Elle est agrémentée par le panache des linaigrettes auxquelles se mêlent de nombreux orchis.
Il court, il court, se précipite, le petit ruisseau de Forclaz, il murmure, chante, mais, parait-il, prend parfois de violentes colères fort dangereuses.
Nous progressons lentement mais sûrement et nous voilà au col de la Forclaz, là encore une belle descente, une traversée de torrent avant de remonter à nouveau.
Des petites « gouilles » aux eaux claires reflètent les sommets portant encore les stigmates d’un rude hiver neigeux.
Toujours au milieu des fleurs le sentier atteint le lac d’Esola que nous surplombons, un petit miroir aux eaux sombres où se mirent encore les sommets environnants, blotti au pied de la Grande Terrasse.
Encore un sentier qui nous procure de belles vues et nous voilà au bord du deuxième lac, le Lac Riondet,(son nom est sans doute du à sa forme ronde), dans ses eaux sombres se détachent les rochers enneigés.
Une douce brise rafraichit la température ambiante et ondule la surface de ce nouveau miroir. Encore un petit effort dans cet alpage fleuri et lac Cornu apparait dans toute sa splendeur, majestueux et scintillant, il se love dans les replis du relief, sous une grande paroi rocheuse qui le domine.
C’est au bout de celui-ci que nous trouverons notre salle à manger. Rien ne manque ce jour, l’apéro est là et le vin aussi, gâteaux et chocolat.
Les plus courageux poursuivront le sentier pour voir le Lac Verdet, en effet ses eaux sont plus vertes, pour arriver enfin au lac Noir, lac plus sauvage et plus minéral. En effet ses eaux sont bien plus sombres mais des névés si baignent encore.
Voilà de gauche à droite, le lac Verdet, le Cornu et le Riondet depuis l'éperon sous le Lac Noir
En toile de fond de magnifiques sommets, le Mont Pourri et l’aiguille de la grande Sassière.
Redescente tranquille par le même chemin, la position du soleil change les couleurs, mais il disparait rapidement derrière de gros nuages menaçants. Quelques gouttes de pluie tombent, tandis que l’orage gronde au loin. Fausse alerte, cette ondée aussi soudaine qu’éphémère nous laissera poursuivre sans le moindre souci. Descente rapide jusqu’à la voiture.
Voilà une journée bien remplie, bien que 650m de dénivelé à notre compteur nous sommes tous un peu las, mais heureux de cette belle randonnée dans le Beaufortain, dans un décor de rêve et en charmante compagnie. Convivialité rime toujours avec amitié. Elle nous a permis d’admirer un des plus beaux panoramas de la Haute Tarrentaise, Mont Pourri et les Arc et de découvrir une flore abondante et variée.
En route...
Le Cormet de Roselent
alade autour de St Gervais Cascade et cheminée des fées.
Un sentier à plat près des Thermes de St Gervais,
puis en raidillon va nous conduire dans la gorge du Bon Nant, en sous bois. La côte est rude mais arrivons rapidement à la cascade des Thermes.
Devinez qui se cache????
Aiguille de Varens
Des escaliers en ferraille nous permettrons d’atteindre St Gervais, d’admirer le Mont Joli, les Dôes de Miage et la Bérangère.
La Maison forte du Châtelet où plus exactement l'emplacement
par une descente tout en sous bois, passant par le château d’eau et sa conduite forcée que nous rejoindrons le chemin de la montée.
La boucle est donc bouclée. Une petite randonnée agréable où l’ombre nous a bien protégé d’un soleil ardent.
Nous reprenons la route pour le parking du TMB afin de monter à la cheminée des fées, encore 40’ de rude montée fort heureusement encore à l’ombre. Quelques escaliers en rondin nous ont « coupé les jambes ». La cheminée des fées est belle, un peu masquée par la végétation. Mais le lieu est propice pour notre repas de midi.
Descente rapide par le même sentier et retour à Passy chez nos amis Nantais pour étancher notre soif.
Encore une belle journée entre amis.
es mines d'or aux chalets de Fréterolle
Suivez moi…. Aujourd’hui je vous amène au restau d’altitude….
De virages en virages, de côtes en descentes, d’alpages en sous bois, après une heure et demie de route nous voici au point de départ de notre randonnée au lac des Mines d’or, ce petit miroir vert foncé où se reflètent tous les sommets environnants.
C’est par un large chemin forestier, en sous bois, que nous débutons la randonnée, mais en peu de temps atteignons les alpages et un soleil ardent brunit notre peau. Une activité pastorale persiste dans ces prairies de Fréterolle avec production de produit de terroir.
A la première bifurcation nous nous engageons à gauche et dépassons rapidement les chalets de Beau Bornon.
Nous montons aux sons des clarines qui tintent, en effet de belle vaches paissent une herbe grasse et bien fournie ou d’un petit torrent qui susurre.
De côtes raides en faux plat, à l’ombre ou au soleil, cette piste pastorale court, tournicote, se tortille, sillonne sans vergogne, ces alpages fleuris et nous permet de grimper aux chalets de l’Aiguille à 1909m d’altitude.
Là une petite incertitude… où passer… devant ou derrière les chalets…Michèle sort la carte…Serge prend la « mouche » et Jacqueline rétorque…
Il suffisait de les contourner et de suive les panneaux indicateurs, la toute petite sente, au profil assez sévère, vogue à flanc de montagne et s’élève rapidement vers la crête jusqu’au pas du Vanet à 2071m.
Pause fruit secs à ce magnifique belvédère, les dents blanches, le Ruan, encore fortement enneigées s’imposent subitement. Cette combe surmontée de ces sommets qui nous barrent l’horizon est un lieu enchanteur. Que du plaisir pour nos yeux.
Nous abordons la descente en crête avec beaucoup d’attention, la sente tutoie le vide et surplombe des prairies qui ondulent. Les lacets serrés aux passages difficiles sont en forte pente avec vide assuré des deux côtés. Ces à pics vertigineux sont impressionnant et le moindre faux pas peut être fatal, nous descendons donc doucement mais sûrement.
De très beaux rochers s’imposent à nous aussi bien à gauche qu’à droite, ils dissimulent l’entrée des fameuses mines d’or, peu exploitées à cause de leurs maigres filons et des difficultés du terrain.
Ce sentier des crêtes se terminent au col du cou à 1920m, près du bâtiment douanier. Posées là deux belles tables d’orientation nous indiquent les sommets environnants que nous ne savions pas reconnaitre pour la plupart.
Descente rapide par un sentier agréable toujours au milieu des alpages, sousle regard bieveillant de Mesdames les vaches, dans le lointain se profile les Aravis à notre gauche et les derniers sommets du Chablais à notre droite.
Occupant un petit promontoire herbeux les chalets de Fréterolle nous attendent pour une pause gastronomique. Je n’irai pas jusque là….
Cette photo trouvée sur le net..
Sans hésiter nous posons nos sacs et nous nous installons, notre table étant réservée.
Mais c’est un menu savoyard que nous aimons bien : Assiette de charcuterie, bougnettes (beignets de pommes de terre) salade verte et fromages du cru. Les plus gourmands ne manqueront pas un dessert maison. Produits de terroir excellents et de bonne qualité et l’accueil sympathique. La maitresse des lieux viendra nous offrir arquebuse ou prune après notre café. Un geste que nous apprécions.
Chèvres, vaches et cochons sont élevés ici à la ferme, quelques effluves de lisier arrivent parfois à nos narines…
Il ne nous reste plus qu’un quart d’heure de descente pour retrouver nos voitures.
Là nos routes se séparent, nous rentrons au studio, le reste de la troupe rentre sur Sallanches ou Passy. Ce n’est qu’un Au revoir, jeudi nous nous réunissons ici pour un repas convivial.
Tags : Randonnées, Haute-Savoie, montagne
-
Commentaires
bonsoir , quel bel article ce récit de vos ballades ! merci du partage bon week-end a+ amicalement
Bonjour Jocelyne,
Lors des balades on a parfois la tête dans les étoiles... et l'on oublie les soucis... puis les opains sont là.
Je suis ravie de te faire randonner dasn un fauteuil.
Bises
13jeanpaul 26Jeudi 8 Août 2013 à 17:41Que de belles balades agrémentées de superbes photos. On vous suit avec plaisir, sur le net bien sûr !!!
Amicalement
Jocelyne
Bonjour,
Finie la chaleur... Il pleut depuis ce matin. Mais ici à 1100m pas trop chaud du moins soir et matin. On a un petit gilet sur le dos...
Après le 15 auût on va continuer les randos, si le temps le permet. Là on va faire un break.
J'espère que vous allez pour voir marcher et que le genou va bien se comporter. Bonnes balade.
Bises
Huguette
Chaud chaud chaud !!! lmais non à la montagne il fait frais !!!
Une super rando et apparemment bien accompagnés !! et un éventail de photos assez impressionnnantpour nous re-départ le 1 /09 pour le Lot/Dordogne/Aveyron, enfin le centre -sud ..... jusque mi novembre
en espérant que mon genou sera rétabli (rotule défaillante) sinon se sera photos photos photos sans marche !!!bisous à vous
PS. sur mon autre blog aujourd'hui, des protèges bouteilles avec des sacs plastique
http://lesplaisanciersdedielette.eklablog.com
Bonsoir ma petite soeur,
Tu vas lire à la fraîche... tu as raison on transpire moins et la luminosité est meilleure pour les photos..
C'est parfois très dur pour moi...Mais quel plaisir pour nos yeux.
Grosses bises à bientôt.
Huguette
Bonjour tous les deux,
Quel plaisir de bon matin ! de lire et admirer ces paysages. Vous etes tous des courageux, car avec la chaleur cela ne doit pas etre toujours facile, mais le plaisir est immense pour mes yeux!!!
Gros bisous
Bonjour Barbel,
Nous faisons de belles randos avec des paysages magnifiques et en plus dans de nouveaux endroits que nous ne connaissons pas. C'est fabuleux mais on est un peu las.....
C'est la jeunesse !!!
Bises
7BarbelLundi 5 Août 2013 à 11:25Oui ! ! ! je randonne avec plaisir avec vous assise devant mon ordi. Les prises de vues sont magnifiques je me régale, mais quel courage, bravo a vous tous
Bisous
Bonsoir Barbel,
Merci pour ton message. Randonne donc avec nous....;virtuellement !!! Sans doute pas trop vieille ....mais tes douleurs te taquinent beaucoup trop. Dommage.
Celle d'aujourd'hui était tout simplement magique.
Grosses bises
Huguette
5BarbelJeudi 1er Août 2013 à 20:21merci pour les belles photos qui nous font toujours rêver, profitez bien de vos balades, que j'aimerais tant faire mais malheureusement ce n'est pas possible, on se fait vieux.........
gros bisous à ++++++++++++++++
Bonjour Brigitte et Christian,
On en a bavé mais c'est super. Ce jour une nouvelle avec les copines et les copains c'est magifique. Mais il y a une partie à plat que l'on pourra vous faire faire c'est de toute beauté et un peu en sous bois.
Grosses bises à tous.
Huguette
OH les courageux!! c'est formidable ce que vous faites, on ne vous aurez pas suivi.! Et toujours ces belles photos! Merci Huguette, c'est comme si on était avec vous .....
bisous
Bonsoir Ghyslaine et Jean Marie,
Eh oui..il y en a... des courageux.... Mais ici il fait un peu moins chaud et l'on peut récupérer la nuit car la température descend. Sommes à 1100m.
Voilà les photos, elle ne dont pas terrible avec la brume de chaleur.
La suite demain...
Bises.
Huguette
Bonsoir Huguette, Bonsoir Paul,
Il y a des gens courageux par ces fortes chaleurs.... mais il est vrai que c'est bien agréables ces randonnées.
J'attends la suite et les photos
Bises
Ghyslaine
Ajouter un commentaire
Bonsoir Bebert33,
merci pour votre passage sur mon blog et ce gentil commentaire. Nous aimons beaucoup randonner en Hautes Savoie.
Bonne soirée.
Amicalement.
Huguette